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marine le pen - Page 11

  • Que faire du système ?

    La notion de « systémique », c’est à dire la méthode de régulation et de contrôle des systèmes à bût, permet de comprendre ou plus exactement d’appréhender, au moins dans les grandes lignes, comment peuvent se « construire » des individus adaptables également capables d’adapter leur environnement au mieux de leur besoin et de leur intérêt.

    Des individus munis d’intelligence et d’initiative  « construites » dans ce sens et dans cette « finalité » ; capables en interférant entre eux de performances exceptionnelles

    Dans cet objectif, les ordinateurs  et les « réseaux sociaux »  deviennent des instruments de « démocratie directe ».

    Il est possible de former de véritables coalitions transfrontalières pour toute une variété de sujets et de se rassembler en « collectif de combat » dépassant les frontières sur des sujets brûlants comme l’immigration, la démographie, la mémoire collective, l’identité européenne, la financiarisation de l’économie.

    Dans la conjonction actuelle des méfiances envers les institutions, il s’agit de faire émerger, sur ces sujets en particulier,  une plus grande conscience politique chez les citoyens Français et bien évidemment Européens afin qu’ils distinguent sans ambigüité et sans hésitation les leaders nationaux, européens et mondialistes capables de conduire une politique en tenant compte des citoyens, de leurs attentes, de leurs besoins et servant leurs intérêts.

    La reconquête de NOTRE souveraineté nationale devrait être notre premier objectif car elle est devenue une notion plus que relative pour des Etats européens manquant de cohérence.
    Ce qui ne nous permet pas de répondre aux défis qui nous sont adressés.

    L’échéance électorale de la présidentielle  du 23 avril 2017 marquera un tournant dans l’histoire de la France et du monde.

    Ne nous laissons pas détourner de nos objectifs et sachons choisir celui ou celle qui nous propose le projet de société et le programme les plus en conformité avec nos attentes.     

    Francis Claude NERI
    12 09 16

  • Brexit

    Eh bien c’est fait !

    Les peuples européens se trouvent confrontés à des défis démographiques, culturels et économiques dramatiques, et à une offre politique partisane vieillie dont les clivages ne sont plus en prise sur la réalité et la profondeur des crises.


    La conséquence nous la voyons aujourd’hui. Le Nouvel Ordre Marchand a tout tenté pour empêcher le peuple Britannique de reprendre le pouvoir sur ses « élites » indignes.
    Sondages bidons, exploitation éhontée de l’assassinat d’une députée britannique favorable au Brexit, mais aussi à l’immigration de masse, en particulier islamique.

    Le peuple britannique ne s’est pas fait avoir !

    C’est de bon augure pour la France et pour les souverainistes français …nous avons à présent une chance sérieuse de gagner en 17. Le gouvernement est à la dérive, sans cap et sans capitaine donnons lui le coup de grâce, faisons le tomber, nous n’avons plus de temps à perdre.

    Marine Le PEN doit à présent « sortir du bois » et entrainer derrière elle tous les hésitants, comme nous le lui suggérons avec Robert MENARD .

    Ne nous laissons plus intoxiquer par les Trolls de tous poils, rassemblons nous à droite et imposons leur une alliance autour de nos 51 propositions.

    Francis NERI
    24 06 16       

  • Béziers triste révélateur ou marchepied vers l’union ?

    Est-ce que c’est quand tout est dit que les non-dits disparaissent pour de bon ? Ces non-dits qui minent l’union des vraies droites en propulsant au premier plan les ego et les chapelles d’intérêts où officient toujours les grands prêtres de la différence pour la différence. Et ce, alors que la grand-messe des idées nationales aurait dû inviter à la même table de communion ces fidèles que tout aurait dû rassembler mais que les petites et sottes querelles de clochers séparent…

    J’hésite toujours entre la rage, car rien ne vaut parfois une saine colère, la frustration devant l’ouvrage inachevé et l’espoir que la grande cause nationale l’emporte dans un deuxième temps sur les guéguerres de clans. Leurs chefs ne voient pas plus loin que le bout de leur nez, même si certains l’ont aussi long que celui de Cyrano.

    Fallait-il organiser ces Journées de Béziers ? Oui, puisque celles-ci auront non seulement servi à révéler les canaux de désaccords mais aussi (et surtout) à faire naître le désir sincère de travailler sur ces questions qui fâchent pour éviter que ces canaux se transforment en fossés. Non si, pour la énième fois, les ego surdimensionnés des présents mais surtout des absents ont accentué ce côté « Tout homme est une guerre civile » (Jean Lartéguy) qui fait que le Français vote toujours contre et rarement pour…

    On me répondra que Béziers n’était ni un meeting préélectoral ni une réunion d’adoubement du Front national. Mais si on a un tant soit peu les yeux en face des trous, il est évident que cette seule société civile n’aura ni la force pour certains, ni le désir pour d’autres, de catalyser les esprits « dissidents » pour les canaliser vers le seul parti structuré capable de gagner en 2017. Alors ? Faisons comprendre une fois pour toutes aux Dupont-Aignan, Villiers, Zemmour, Camus, Tillinac (ces trois derniers étant des politiciens qui s’ignorent), pour lesquels nous avons le plus grand respect, que sans eux rien ne sera possible certes, mais que la victoire sera d’autant plus belle en 2017 s’ils réussissent, en travaillant sincèrement sur ce qui peut les unir au FN, à mettre leurs petites personnes de côté pour voir plus grand.

    Disons-leur aussi qu’à vouloir cultiver leurs « courants », ceux-ci les conduiront finalement à la fin de leurs vies sans avoir rien achevé si ce n’est leurs différences qui mèneront la cause nationale au tombeau et le pays au désastre. Faisons enfin comprendre à Marine Le Pen qu’elle n’a pas le monopole de la vérité. À défaut de tout cela, nous serons obligés, querelles permanentes à l’appui et à l’image de Vercingetorix, de déposer nos armes aux pieds de personnes autrement plus dangereuses que Jules César.

    Dans le cas contraire, qu’on se taise et qu’on se pince le nez pour ingurgiter encore un quinquennat socialiste ou juppéiste qui sont, pour moi, la même chose. Le seul marchepied qui vaille, c’est celui qui conduit à la victoire finale. Le reste n’est que bla-bla…

    Jean-Pierre Lenoir

    Marchand de vins et écrivain
    20 06 16